Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Les États généraux de l’information rendent publiques jeudi 12 septembre les conclusions de leurs travaux. Mediapart dévoile les quinze propositions retenues par le comité de pilotage. Un ensemble en demi-teinte, loin des promesses initiales.
Pour la reprise de son émission sur C8, l’animateur de « TPMP » a réagi pour la première fois à la décision de l’Arcom de débrancher la chaîne de la TNT. Il a dénoncé le harcèlement dont il serait victime de la part de l’autorité de régulation, annonçant son intention de saisir la justice.
Durant cette quinzaine olympique, Mediapart propose un tour quotidien des actualités de la compétition sportive et de ses à-côtés. Au sommaire du 3 août : les médailles pleuvent sur le clan tricolore, avec des Teddy Riner et Léon Marchand qui entrent définitivement dans la légende des JO. Oubliez les Champs-Élysées et le Tour de France, place à un parcours qui sent bon le vélo populaire. De son côté, Gérald Darmanin jubile de la réussite sécuritaire des JOP.
Durant cette quinzaine olympique, Mediapart propose un tour quotidien des actualités de la compétition sportive et de ses à-côtés. Au sommaire du 1er août : la Marchand mania, l’émission de Léa Salamé qui ne fait pas l’unanimité à France Télévisions et une badiste indienne star de son pays.
Durant cette quinzaine olympique, Mediapart propose un tour quotidien des actualités de la compétition sportive et de ses à-côtés. Au sommaire du 28 juillet : une première journée fructueuse pour la délégation française, une escrimeuse en compétition mais menacée de suspension, et Philippe Katerine censuré au Maroc et aux États-Unis.
En faisant le choix d’éjecter C8 de la TNT, l’Arcom met fin à l’inertie des autorités de régulation face au projet idéologique du milliardaire breton. Mais celui-ci pourra continuer d’exploiter CNews pour diffuser ses idées ultraréactionnaires.
Candidats au renouvellement de la fréquence de la chaîne d’info, les dirigeants de CNews ont refusé de s’engager à augmenter la part de l’information brute et à faire mieux en matière de pluralisme, confirmant ne pas s’envisager autrement que comme une chaîne d’opinion.
À quelques heures de la fin de la campagne des législatives, « Le Journal du dimanche », aidé par toute la galaxie Bolloré, a affirmé à tort que le gouvernement s’apprêtait à suspendre la loi immigration. Et refusé de supprimer son faux scoop, malgré la réserve électorale et quatre mises en demeure. Le parti Renaissance a déposé plainte.
Fragilisé par les révélations sur sa connivence avec l’entourage de Nicolas Sarkozy dans l’affaire de la fausse rétraction de Ziad Takieddine, le directeur général de la chaîne fait face à un vent de contestation inédit. Une motion de défiance le visant n’est pas à écarter.
C8 et CNews exploitent gratuitement des fréquences publiques pour y déverser un discours de haine, ultraconservateur et désormais ultrapartisan. Comment mettre un frein à ce scandale démocratique ? L’Arcom, qui doit renouveler ou non 15 fréquences, en a l’occasion.
D’Amiens à Avignon, des militants insoumis jusqu’aux électeurs de droite, une fierté incrédule a parcouru le pays dimanche soir à l’annonce des résultats du second tour des élections législatives. Mais face aux très bons scores de l’extrême droite un peu partout sur le territoire, l’enthousiasme reste mesuré.
Au prétexte de ne laisser aucun Français de côté, les grands médias ont ouvert leurs colonnes au RN en rompant le cordon sanitaire autrefois de rigueur. Dans certaines rédactions, l’heure est à la protestation ou au moins à l’introspection.