Arts Reportage

Au centre Pompidou-Metz, d’autres avenirs à rebours de la fin du monde

L’exposition « Après la fin », visible jusqu’en septembre, convoque une quarantaine d’artistes aux techniques hybrides, depuis la Méditerranée et les Caraïbes, pour aiguiser nos imaginaires. Et montre qu’à l’inverse de ce que prétendait Margaret Thatcher, il y a bien des alternatives. 

Ludovic Lamant

Metz (Moselle).– Il suffit parfois d’une seule œuvre pour conseiller la visite de toute une exposition. Au deuxième étage du Centre Pompidou-Metz, dès l’entrée, trois tableaux emportent tout. D’ordinaire exposés au musée des Amériques à Madrid (au sein d’un ensemble d’une vingtaine de pièces), ils ont été réalisés par Miguel et Juan González au XVIIe siècle, à partir de l’incrustation de morceaux de nacre dans la toile.

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