CinémaEntretien

José Luis Guerín noue un « pacte avec le hasard » pour filmer la périphérie oubliée de Barcelone

Dans « Histoires de la bonne vallée », le cinéaste filme tout en douceur la vie d’un quartier populaire de Barcelone, loin des dégâts du surtourisme du centre-ville. À un moment où les extrêmes droites malmènent les imaginaires, José Luis Guerín revient sur la fabrication de ce film revigorant.

Ludovic Lamant

En catalan, vallbona signifie « bonne vallée ». C’est aussi le nom d’un quartier de 1 400 habitant·es à peine, dans le nord du grand Barcelone, est enclavé entre un bras d’autoroute, les rails du chemin de fer qui dessert les gares de la ville, la montagne de l’arrière-pays et le fleuve Besòs qui court se jeter dans la Méditerranée.

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