Arts Chronique

À l’opéra, un « Lohengrin » explosant d’horreurs martiales

Face à l’art total voulu par Richard Wagner, le metteur en scène russe Kirill Serebrennikov, issu du totalitarisme, psychiatrise ce qui ne demande qu’à l’être. D’où un « Lohengrin » enfin revisité, affolant de vérités horrifiques contre la guerre impérialiste.

Antoine Perraud

À la première de Lohengrin, samedi 23 septembre à l’opéra Bastille, la fausse note est une fois de plus venue des braillards patentés.

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