L’amour est une région bien intéressante, comme disait Tchekhov. Et même passionnante, ainsi que l'écrit Simon Liberati dans Eva. Ou comment, d’un itinéraire un peu fracassé, faire une voie royale. Et se retrouver sur la liste du Goncourt. Extrait en fin d’article.
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Il y a quelques jours paraissait dans la presse – du Monde au Figaro, sans même évoquer la presse américaine, bien plus prolixe – une annonce de décès suivie de quelques lignes. Edwige Belmore, souvent dite Edwige tout court, ou la « reine des punks », celle qui avait posé en compagnie de Warhol à la une de Façade, qui avait « fait la porte » à l’entrée du Palace, traversé les nuits parisiennes et new-yorkaises... Edwige Belmore venait de mourir. « Entourée de ses amis », à 58 ans, et d’une hépatite C tardivement soignée. Les photos récentes montraient un visage toujours beau, regard intact derrière les lunettes, mais cheveux bruns sévèrement tirés, loin des tenues vinyles et de la coupe courte et peroxydée d’antan.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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