D’elle, on sait d’abord qu’elle se prénomme Sibylle, qu’elle « a toujours l’air d’avoir les cheveux sales et éteints, pourtant elle les lave tous les jours ». Elle travaille à l’hôpital, et le soir rentre sans grand désir dans l’appartement bordelais où, depuis le divorce, elle vit avec son fils.
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