Les catastrophes « naturelles », l’extinction de masse en cours et les rapports scientifiques nous font prendre de plus en plus conscience de l’hypothèque posée sur l’habitabilité de la planète. Cette alarme existentielle pour l’espèce humaine se double d’une inquiétude, à plus court terme, en ce qui concerne le devenir de la démocratie dans un monde aux équilibres biologiques et climatiques irréversiblement dégradés. De fait, la désinvolture écologique aura caractérisé l’essentiel de la trajectoire historique des régimes représentatifs occidentaux.
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