Un siècle après la mort de Kafka (1924), son œuvre brève et mate comme un silex a été ensevelie sous l’amoncellement des commentaires. On a tant écrit sur Kafka, tant commenté sa vie, son œuvre, tant polémiqué sur sa décision de la brûler que l’on pourrait craindre que la parution de deux nouvelles traductions « intégrales » (plus de 800 pages) de son Journal ne vienne ajouter à la confusion. C’est tout le contraire ! Les nouvelles traductions des journaux de Kafka contribuent justement à clarifier son expérience et sa stratégie littéraire.
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