De Sarajevo à Marioupol : l’exacerbation des nationalismes européens

Depuis le siège de Sarajevo il y a trente ans, l’Europe semble de moins en moins en mesure d’échapper aux dynamiques nationalistes, qu’elles soient guerrières ou électorales. Trois chercheurs confrontent leurs terrains et leurs regards sur ces tectoniques à l’œuvre.

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Il y a trente ans commençait le siège de Sarajevo, capitale de Bosnie-Herzégovine, qui dura quasiment quatre années et fit plus de 10 000 morts. Au début du mois de mars dernier débutait un autre siège, celui de la ville ukrainienne de Marioupol, qui dura moins de trois mois et aurait fait autour de 20 000 victimes, dont plus de 600 dans le théâtre principal de la cité portuaire, bombardé en dépit de gigantesques inscriptions en russe signalant la présence d’enfants.

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