Avec «Des éclairs», Jean Echenoz s’offre une troisième vie épique

Entamé avec un musicien, Ravel, et poursuivi par un sportif, Zatopek, Jean Echenoz décide de clore ce qui sera donc un triptyque imprévu de vies épiques avec un scientifique, l'ingénieur et découvreur, Nikola Tesla, héros magnifique «Des éclairs». Présentation critique, entretien vidéo et premières pages du roman.

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Jean Echenoz s'est piqué au jeu. Mais il jure cette fois que c'est la dernière: après celle de Ravel dans le roman du même nom, puis celle de Zatopek dans Courir, c'est une troisième et dernière vie dont il s'est saisi pour Des éclairs, celle de Nikola Tesla, immense star de la physique outre-Atlantique, trop méconnu par ici. Né au milieu du XIXe siècle en Croatie, alors partie prenante de l'Empire d'Autriche, il s'exile aux Etats-Unis pour aller travailler avec Thomas Edison qui bénéficiera de la plupart des nombreux brevets déposés après les inventions de Tesla en matière d'énergie électrique et de sa distribution.

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