Une enquête dissèque la télé, ses horreurs, ses mensonges et son sexisme
Dans Ma vie au poste, le journaliste Samuel Gontier rend compte de huit ans d’enquête immobile sur la télé de tous les jours. Il démonte les ressorts d’un flot quotidien à l’influence toujours pas démentie.
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Presque une décennie à regarder la télé, et à écrire sur la télé. Mais pas sur les documentaires multi-primés ou sur les fictions de prestige. Depuis huit ans, le journaliste de Télérama Samuel Gontier chronique le tout-venant télévisuel, les journaux télé, les chaînes d’info, la télé-réalité, les talk-shows, les émissions de divertissement… « Ça peut rendre fou », glisse-t-il. Mais c’est son boulot : presque tous les jours sur son blog, et une fois par semaine dans une chronique du magazine culturel, il rend compte de ce qu’il a vu. En osant juxtapositions étonnantes ou précisions acerbes. Une sorte de zapping écrit, et hautement instructif.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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