Arts Chronique

Claude Sautet a contourné l'abîme, dommage !

Ressortie en salle de quatre films de Claude Sautet du début des années 1970, en même temps que se tient à la Cinémathèque française une rétrospective intégrale de son œuvre. Mais qu'est-ce qui énerve toujours chez Sautet, au-delà de l'éloge que vient d'en faire Zemmour ?

Emmanuel Burdeau

Une rétrospective intégrale des films de Claude Sautet se tient jusqu’au 4 janvier à la Cinémathèque française. Les Acacias ressortent en même temps quatre films, Les Choses de la vie (1970), Max et les Ferrailleurs (1971), César et Rosalie (1972) et Vincent, François, Paul et les autres (1974). Ce ne sont pas les moins connus de Sautet, mais ce ne sont pas non plus les moins représentatifs d’une carrière qui, ouverte au milieu des années 1950 et achevée au milieu des années 1990, compte quatorze titres, de Bonjour Sourire (1955) à Nelly et Mr. Arnaud (1995).

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter