TravailEnquête

« Musea m’a tuer » : au Louvre, la détresse des agents victimes de la sous-traitance

En deux ans, l’agence prestataire du musée a employé au moins 600 personnes pour assurer des missions d’accueil, dans des conditions difficiles, les exposant à des agressions, du sexisme et une forte usure. Malgré les alertes, le contrat avec l’agence a été renouvelé pour un an.

Sarah Bos

Au Louvre, il n’y a pas que les salarié·es du musée le plus visité au monde qui souffrent. Le 19 décembre, alors que les agent·es s’apprêtaient à reprendre le travail après une semaine de grève pour réclamer de meilleures conditions de travail et davantage de moyens, une alerte pour danger grave et imminent était déposée par le syndicat Sud Culture. 

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