Christophe Radé aime bien les métaphores. «L’ancien code du travail, c’était un jardin à l’anglaise. Le nouveau, c’est un jardin à la française.» Il sait aussi être prudent : «Quand on passera le râteau, il est possible qu’on trouve quelques cailloux». Mercredi 30 avril, dans un grand hôtel parisien, ce professeur de droit bordelais présente son grand œuvre : le nouveau code du travail qui entre en vigueur ce jeudi 1er mai, simple hasard du calendrier, assure-t-il.
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