Afrique(s)

Accaparement des terres: l’interminable bras de fer avec le groupe Bolloré

Samedi, des opposants à la politique africaine de Bolloré se réunissent à Paris. Au Cameroun, en Côte d’Ivoire ou en Sierra Leone, les riverains des plantations d’hévéas et de palmiers à huile du groupe luttent toujours pour vivre mieux. Deux de leurs représentants étaient récemment en Europe.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Tous contre Bolloré. Ce samedi 8 avril, un collectif d’associations de la société civile française et africaine appelle à manifester « contre la nouvelle Françafrique », et notamment contre le groupe Bolloré, très actif sur le continent africain. Il sera largement question de l’accident, en octobre 2016, d’un train de la société camerounaise Camrail (dont Bolloré est l’actionnaire majoritaire), dû à « une accumulation de fautes graves et de négligences », selon un rapport d’expert. Mais pas seulement. Des villageois devraient aussi intervenir, par vidéo, pour raconter leur lutte contre les plantations de Socfin et l’accaparement de leurs terres.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA