Le voyage d’Emmanuel Macron en Chine a été l’occasion de célébrer à nouveau la coopération franco-chinoise dans le nucléaire : un protocole a été signé avec Framatome (ex-Areva) en vue de la construction d’une usine de retraitement de combustibles. Mais à quel prix ? Dans quelles conditions ? Depuis des années, la Chine est l’alibi de la filière nucléaire française pour cacher ses errements.
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Cela fait partie de la tradition diplomatique entre la France et la Chine. Pas un grand voyage officiel d’un représentant important chinois en France ou d’un responsable politique français en Chine ne se termine sans qu’un accord sur le développement de la coopération nucléaire entre les deux pays ne soit signé. Le voyage d’État d’Emmanuel Macron à Pékin a respecté l’usage. Mardi 9 janvier, Areva a signé un « protocole d’accord commercial » avec l’électricien chinois CNNC pour la construction d’une usine de retraitement de combustibles nucléaires, sous l’égide des présidents chinois et français.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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