Économie et social Analyse

Et si l’entreprise n’était pas qu’une machine à profits

Le gouvernement a ouvert le chantier de l’objet social de l’entreprise. Un enjeu majeur qui vise à corriger la myopie du capitalisme contemporain uniquement centré sur l’intérêt des seuls propriétaires. Mais les bonnes intentions semblent déjà avoir fait long feu…

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Ce sera l’un des grands chantiers du premier trimestre 2018. Le 5 janvier dernier, le gouvernement a lancé les travaux d’une commission visant à « repenser la place de l’entreprise dans la société », qui sera coprésidée par l’ancienne secrétaire générale de la CFDT Nicole Notat et le patron de Michelin Jean-Dominique Senard. Cette alliance symbolique du capital et du travail entend permettre aux entreprises « de formaliser, voire d’amplifier leur contribution à l’intérêt général », comme l’a prétendu la ministre du travail, Muriel Pénicaud. Au centre de cette évolution se trouve celle, juridique, de la définition de l’objet social de l’entreprise (voir sur le même sujet la tribune de l'économiste François Morin, publiée dans le Club de Mediapart).

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA