C'est une bataille à plusieurs milliards d'euros : en France, depuis plusieurs années, le chèque est moribond. Les institutions bancaires et le gouvernement le répètent souvent, l'exception française qui consiste à utiliser cette monnaie scripturale serait une anomalie à l'échelle de l'Europe, les restes d'un autre temps. Selon une étude de 2011 commandée par le Comité consultatif du secteur financier (CCSF), son usage « baisse de 4 % chaque année ».
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous