«Laissez tomber les discussions sur les annulations de la dette. » À la mi-décembre, l’économiste allemande Isabel Schnabel, qui siège au conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), a fini par s’énerver sur Twitter. La discussion d’une possible annulation d’une partie des dettes nationales des membres de la zone euro par l’institution monétaire européenne prenait par trop d’ampleur, selon elle. « Ce débat est dangereux et doit être arrêté », intimait-elle.
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