Ils n’avaient même pas fait semblant. À l’ordre du jour à l’Assemblée mercredi 20 juillet, l’examen du texte de loi sur le travail était suivi lors de la même séance d’une discussion sur un rapport, de la lecture définitive de la loi sur la biodiversité, et encore de plusieurs autres points. Dans une courte allocution, vers 16 h 30, le premier ministre n’a donc pas beaucoup développé, assénant, une fois de plus, qu’« il n’y a pas de majorité alternative dans cet hémicycle et chacun le sait ».
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