À Marie-Galante, l’économie de la canne à sucre en péril

Cette île guadeloupéenne à l’économie rurale tente de maintenir une activité ancestrale, tirée de la période esclavagiste : sa production de sucre de canne, peu rentable et concurrencée par la betterave depuis des années. Premier volet de notre série.

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Marie-Galante (Guadeloupe).– La fumée noirâtre de la cheminée de l’usine s’est éteinte jusqu’à la saison prochaine. En cette fin de mois de juin, la récolte de la canne à sucre vient de s’achever à Marie-Galante. L’usine, comme on dit sur cette île française des Caraïbes, surnommée la Grande Galette en raison de la forme du plateau rond émergé des lagons, est l’une des deux unités industrielles de production du sucre de la Guadeloupe.

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