Si la préparation des fêtes de fin d’année y fait grimper en flèche le nombre d’intérimaires, le recours au travail temporaire est une réalité incontournable chez le géant de l’e-commerce. Les agences d’intérim ont même leurs propres locaux « on site » dans les huit entrepôts français.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
BrétignyBrétigny-sur-Orge (Essonne).– À 11 h 40, mercredi 24 novembre, les militants de la CGT d’Adecco et de Randstad rejoignent leurs camarades d’Amazon devant Ory 4, l’un des huit entrepôts français du mastodonte de l’e-commerce. Ils s’apprêtent à distribuer des tracts invitant à une grève le jour du « Black Friday », vendredi. Le tractage vise aussi à donner aux salariés intérimaires les contacts des équipes syndicales de leur société d’intérim.