Travail

Office Depot s’effondre, l’ombre de l’actionnaire «prédateur» plane

Le fonds d’investissement allemand Aurelius est accusé par les salariés de se servir dans les caisses. Et d’accélérer la chute de la filiale française du spécialiste des fournitures de bureau, dont le repreneur pourrait être désigné mi-avril. 1 500 emplois sont en jeu.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Une entreprise qui sombre, encore. Et le doute qui taraude, comme souvent : son actionnaire, un fonds d’investissement spécialisé dans le « retournement » d’entreprises en difficulté, a-t-il précipité la chute, en se servant trop largement dans la trésorerie ? Voilà la question qui tenaille depuis des mois les représentants des 1 500 salariés de la filiale française d’Office Depot, la marque de fournitures de bureau.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA