Les South Side Lyon sont de plus en plus visibles dans les tribunes du club rhodanien. Plusieurs de ses membres ont pourtant été condamnés pour violences et affichent leur proximité avec l’idéologie nazie. L’OL affirme « faire preuve de vigilance » et les South Side « être une association apolitique ».
Dans les années 1980, l’oncle du dictateur syrien, alors en rupture de ban, s’est installé dans un immense domaine du Val-d’Oise, avec des dizaines de salariés. Depuis, il a été condamné pour blanchiment d’argent et détournement de fonds publics. Les familles autrefois à son service ont été abandonnées à leur sort.
Des quantités phénoménales de TFA, un « polluant éternel » très mobile, de la famille des PFAS, ont été mesurées dans les effluents d’une usine de BASF, à Saint-Aubin-lès-Elbeuf, au sud de Rouen. Des « traces » de cette substance ont été retrouvées dans le captage d’eau potable à proximité.
La députée du Pas-de-Calais est soupçonnée de détournements de fonds publics. Elle avait pioché dans son enveloppe de l’Assemblée pour payer notamment la pension de ses deux chiens ou les obsèques de sa mère, comme l’avait révélé Mediapart.
En août, Jérôme D. a mortellement percuté avec sa voiture Djamel, le nouveau compagnon de la mère de ses enfants. La victime avait déjà déposé trois plaintes pour des injures racistes contre l’homme qui l’a finalement tuée, proche d’un groupuscule d’extrême droite.
Il y a un an, le président français s’était engagé à ce que la France accueille jusqu’à 50 enfants grièvement blessés par la guerre conduite par Israël, ou malades. En quatorze mois, seuls 17 ont été accueillis, selon les informations de Mediapart.
Alors que s’ouvre son procès en appel pour corruption de mineurs, l’animateur de CNews semble plus indéboulonnable que jamais au sein de la chaîne de Vincent Bolloré.
En quittant les services de renseignement intérieur, l’ex-patron de la DCRI a emporté avec lui près de 400 documents classifiés, une possible compromission du secret de la défense nationale. Un nom revient avec insistance dans cette masse documentaire : Igor Peccatte. Enquête sur une ombre de la République.
Deux ex-patrons de la Caisse des dépôts, Augustin de Romanet et l’ancien secrétaire d’État Jean-Pierre Jouyet, sont jugés à partir de ce lundi pour « favoritisme » et « détournement de fonds publics », au côté d’Alain Bauer. Le célèbre criminologue est soupçonné d’avoir profité de contrats de complaisance.
Luc Jousse, maire de Roquebrune-sur-Argens jusqu’à sa destitution en 2016, est en fuite après avoir été condamné à un an de prison ferme pour « pantouflage ». Son casier judiciaire porte déjà la trace de sept condamnations ces huit dernières années.
Payer pour assurer les « vieux jours » de son bourreau : voilà ce qui arrive à certaines victimes de violences ou d’inceste quand leurs parents vieillissent et se retrouvent en incapacité de subvenir à leurs besoins. Plusieurs d’entre elles contestent cette obligation, et la loi évolue.
Tandis que l’artiste est visé par deux plaintes pour harcèlement sexuel et agression sexuelle, deux autres jeunes hommes dénoncent auprès de Mediapart avoir reçu sans consentement des photos à caractère pornographique de sa part.
L’épouse de l’ancien chef de l’État a été à la peine face aux juges de l’affaire « Sauver Sarko », en marge du scandale libyen. Au point de devoir reconnaître l’existence d’un téléphone secret au cœur de l’affaire et de mettre en cause de manière très virulente son amie de trente ans.
La Caisse nationale d’assurance-maladie lance le déploiement de robots pour gérer certains dossiers considérés sans « valeur ajoutée ». Des syndicalistes ont découvert par hasard l’arrivée de ces collègues « fictifs » après avoir été alertés sur des clôtures de dossiers inexpliquées.
Quatre ans après l’agression du producteur de musique, l’enquête est terminée et plusieurs éléments pulvérisent la version des policiers qui disaient avoir été blessés par Michel Zecler. « J’ai la main gonflée parce que j’ai tapé le mec », confesse ainsi l’un d’entre eux dans un message consulté par Mediapart.
Guillaume F. doit être jugé en décembre pour des viols commis sur son bébé. Jusqu’à leur découverte, la justice avait déjà eu affaire à lui à trois reprises pour des consultations d’images illégales. Son parcours interroge le traitement des « cyberpédocriminels visionneurs ».