Soutenu par la mairie, le projet d’extension de l’institut religieux bute depuis six ans sur l’opposition farouche de la préfecture. L’affaire est suivie de près par le préfet, un proche de Gérald Darmanin, et par les médias du groupe Bolloré.
Le président de la communauté de communes de l’île vendéenne comparaîtra en avril prochain devant la justice pour avoir ouvert avec sa famille un lieu de réception pouvant accueillir jusqu’à 300 personnes dans une zone à fort risque d’inondation.
Le parquet de Paris a requis le renvoi devant la cour d’assises de l’escroc Arnaud Mimran, un des principaux acteurs de la fraude historique aux quotas carbone, pour deux meurtres et un assassinat. Mediapart a pris connaissance de l’intégralité du rapport de synthèse.
Depuis le 27 janvier, le pôle de journalistes chargés de la mise en page et de la relecture de toutes les éditions du quotidien sur le littoral a été éclaté entre différentes agences à la suite de très nombreux arrêts de travail. Cette solution, ultime soubresaut d’un plan social mal digéré, fait craindre le pire pour le grand quotidien nordiste.
En 1996, la condamnation d’un surveillant général met en lumière l’incroyable climat de violences au sein de l’établissement. Une professeure tente de briser l’omerta. Mais le ministre de l’éducation de l’époque, François Bayrou, maintient sa confiance à l’institution religieuse.
Son discours semble vertueux : planter des arbres au nom de la préservation de la biodiversité. Mais la réalité est plus épineuse. L’entreprise a une gestion principalement économique de la forêt, soutenue financièrement et politiquement par la région Bretagne.
Déjà sous le coup d’une procédure judiciaire en Algérie, l’écrivain est, selon les informations de Mediapart, désormais assigné en France pour atteinte à la vie privée. Saâda Arbane l’accuse d’avoir utilisé le récit de sa vie sans son consentement pour son roman « Houris », lauréat du prestigieux prix littéraire.
Selon nos informations, en dépit d’une condamnation pour des violences physiques en 1996, de la mise en cause du directeur pour des viols sur mineur en 1998, d’autres alertes au fil des années 2000 et d’une centaine de plaintes déposées depuis 2023, cet établissement privé sous contrat n’a jamais été contrôlé par le ministère de l’éducation nationale depuis trente ans.
L’enquête visant un dirigeant d’entreprise et une dizaine de policiers a été étendue à des soupçons de trafic d’influence en lien avec le monde politique. L’épouse de l’ancien ministre Olivier Stirn a été mise en examen mercredi 12 février, selon les informations de Mediapart.
Il y a plus de dix ans, une société espagnole a investi dans l’organisation du tournoi de l’Open 13. Son propriétaire est en réalité un député indien, mis en cause dans un vaste scandale financier. L’affaire, tentaculaire, a conduit à l’emprisonnement de l’ex-ministre des finances indien.
Le premier ministre a déclaré, mardi 11 février à l’Assemblée, n’avoir « jamais » été informé des violences commises dans cet établissement catholique de la région de Pau. Mediapart publie un courrier avec son accusé de réception ainsi qu’une photo d’archive qui font voler en éclats sa défense.
Neuf policiers franciliens, de grades et services variés, sont mis en examen pour « corruption » dans une enquête à tiroirs ouverte depuis bientôt quatre ans. Ils sont soupçonnés de s’être mis au service d’un sulfureux chef d’entreprise qui leur offrait des cadeaux. Cinq d’entre eux ont été révoqués.
Au sein de l’Église protestante unie de France, les victimes continuent de se manifester. À Montpellier, un influent pasteur et professeur a été suspendu à titre conservatoire et temporaire.
Après le démantèlement de l’agence des États-Unis pour l’aide internationale par le bureau d’Elon Musk, un cadre de l’organisation témoigne dans Mediapart de la brutalité des méthodes employées pour détruire l’État fédéral. Et de leur illégalité.
Un document recueilli par Mediapart et provenant du service EducationUSA, chargé des étudiants étrangers aux États-Unis, détaille comment le trumpisme entend supprimer les femmes, les minorités et les personnes défavorisées des cercles académiques.
Après avoir critiqué Vincent Bolloré sur le plateau de Cyril Hanouna en novembre 2022, le député Louis Boyard a été ciblé par une mystérieuse campagne « citoyenne » diffusée sur Internet. Cette opération ne provenait en réalité pas du tout d’anonymes, selon des informations de Mediapart.