C'est un coup d'arrêt dans la communication de Marine Le Pen. Le traditionnel défilé du FN en l'honneur de Jeanne d'Arc, ce vendredi, devait être « un 1er Mai qui met en première ligne les élus du Front national » et souligne les bons résultats électoraux du parti, pour faire oublier la crise familiale et les déboires judiciaires de Jean-Marie Le Pen. Mais il a été marqué par plusieurs incidents qui entravent la « dédiabolisation » que veut afficher sa présidente, et par une foule clairsemée. Quelque 3 500 à 4 000 personnes ont défilé cette année, des chiffres bien inférieurs aux défilés précédents comme l'a relevé l'AFP.
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