Le défilé syndical du 1er Mai dynamisé par les gilets jaunes
Malgré les annonces alarmistes du gouvernement, le 1er Mai n’a pas viré au chaos et a attiré des dizaines de milliers de manifestants partout en France. Reportage à Paris, où militants, syndicalistes, gilets jaunes, black blocs se sont mélangés, débordant très largement les syndicats, qui dénoncent un maintien de l’ordre « scandaleux ».
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Comme pour toutes les grosses journées de manifestations parisiennes, les points de rendez-vous fixés par avance étaient nombreux pour ce mercredi 1er Mai. Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez devait se livrer à son traditionnel point presse d’avant défilé vers 13 h 30 non loin de la place du 18-Juin-1940, au début du parcours à Montparnasse ; Attac avait fixé comme point de rencontre le cinéma UGC du boulevard du Montparnasse pour son ironique « Benalla Bloc » ; d’autres devaient se retrouver près du métro Vavin un peu avant que s’ébranle le cortège syndical, vers 14 h 30.
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Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
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— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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