La philosophe multiplie les déclarations contre « l’islamisme politique, celui qui tue » mais arrondit son immense fortune avec le pays qui en est le berceau, puisque Publicis, le groupe dont elle est la première actionnaire, est sous contrat avec l’Arabie saoudite.
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DansDans le débat public qu’a suscité l’abominable assassinat de l’enseignant Samuel Paty, une philosophe, Élisabeth Badinter, joue un rôle singulier. Elle est en première ligne du combat – selon sa propre formule – contre « l’islamisme politique, celui qui tue » mais personne, ou presque, ne l’interpelle sur le fait que Publicis, le groupe dont elle est la principale actionnaire, tire de gigantesques revenus de ses contrats conclus avec le régime d’Arabie saoudite pour redorer son image, régime qui est précisément l’un des creusets de cet « islamisme politique, celui qui tue ».
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