Alliance met la droite et l’extrême droite au garde-à-vous

Marine Le Pen, Éric Zemmour, Valérie Pécresse et Gérald Darmanin ont défilé mercredi devant les policiers du syndicat Alliance. Une opération séduction qui a viré à la surenchère droitière, marquée par l’appel à la guerre civile lancé aux policiers par Éric Zemmour.

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Le discours introductif donnait le ton de la journée. « Nous sommes gangrénés et la situation est grave, lançait Fabien Vanhemelryck, le secrétaire général d’Alliance Police nationale. Vous savez que notre territoire est ensauvagé. Plus personne n’entre en prison et nos collègues et concitoyens paient l’addition. » C’est dans cette atmosphère que le syndicat policier a ouvert, mercredi 2 février, le « grand oral » auquel il avait convié la quasi-totalité des candidat·es à l’élection présidentielle (seul Jean-Luc Mélenchon a été boycotté), devant un auditoire chauffé à blanc par la projection préalable du film BAC nord.

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