Justice Reportage

France-Gabon : de la prison ferme requise contre Pascaline Bongo pour « corruption passive »

Jeudi, au tribunal judiciaire de Paris, le Parquet national financier a tancé la fille aînée de l’ex-dirigeant gabonais Omar Bongo, qui aurait « délibérément manqué à ses devoirs d’intégrité et de probité » en acceptant les offres de la société française Egis en 2010.

Michel Deléan

Pour les deux représentants du Parquet national financier (PNF), l’affaire de « corruption d’agent public étranger » reprochée à Pascaline Bongo et à cinq autres personnes devant le tribunal correctionnel de Paris est limpide et d’une « particulière gravité ». Ce jeudi 1er février, jour de réquisitoire, les deux procureurs se succèdent, dans un registre plus clinique que lyrique. 

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