« On a eu peur » : la tardive réaction des sociétés savantes sur l’IHU
Des sociétés savantes ont vivement réagi à la prépublication d’une nouvelle étude de Didier Raoult sur l’hydroxychloroquine. Plus de trois ans après le début de la pandémie, l’impuissance est générale : médicale, scientifique, sanitaire, judiciaire.
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MalgréMalgré le départ de sa figure de proue Didier Raoult, l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille n’en finit pas de faire parler de lui. Le 4 avril dernier, Didier Raoult cosigne avec 16 membres de l’IHU, de l’université d’Aix-Marseille et de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM) une nouvelle étude affirmant encore l’efficacité de son traitement fétiche – l’hydroxychloroquine et l’azithromycine – contre le Covid-19. Cette fois, leur étude s’appuie sur une cohorte de plus de 30 000 patientes et patients testés positifs au sein de l’IHU.