La guerre de Poutine ne fait pas l’unanimité parmi les Russes de France

« Je« Je suis contre la guerre et la violence. Les ambitions personnelles ou les motivations politiques ne peuvent pas justifier la violence. » C’est par ces mots que s’est exprimée la tenniswoman russe Anastasia Pavlyuchenkova, n° 13 mondiale et finaliste de Roland-Garros. Elle marque ainsi, comme plusieurs autres sportifs et sportives russes (comme les tennismans Daniil Medvedev et Andrey Rublev, ou encore le hockeyeur Aleksandr Ovetchkine), son opposition frontale à Vladimir Poutine, signe que la diaspora russe, à travers le monde, ne partage pas forcément le point de vue du Kremlin.