Violences sexuelles : la plainte qui fait tanguer la CGT

Benjamin Amar, figure montante du syndicat, est visé par la plainte d’une camarade pour « viol », « torture » et « actes de barbarie ». Il clame son innocence. La révélation de cette affaire suscite de violentes oppositions entre la direction nationale, qui l’a suspendu de ses fonctions, et ses soutiens du Val-de-Marne.

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Un « tsunami », un « séisme » ou un « tremblement de terre ». Ce lundi 28 février en fin d’après-midi, les membres de la commission exécutive de l’union départementale CGT du Val-de-Marne qui prennent la parole tour à tour puisent dans le même champ lexical pour dire leur choc. Tous ont été convoqués à une réunion, en visioconférence, pour organiser le soutien à leur camarade Benjamin Amar.

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