C’est une première : trois victimes du traitement hormonal Androcur s’attaquent au géant allemand Bayer, également heureux propriétaire de Monsanto. Elles assignent ce fabricant d’un médicament antipilosité devant le tribunal de grande instance de Bobigny pour défaut d’information sur les risques encourus : l’apparition de tumeurs cérébrales appelées méningiomes. Ce mardi, l’audience a été fixée au 29 mai prochain.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous