Union des gauches : le cercle de la raison panique
La possibilité qu’un espace pluraliste de gauche radicale et écologiste se consolide sur la durée soulève un vent de panique chez les tenants du statu quo. Et pour cause : la logique politique de l’union sur une base de rupture est en bonne voie.
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ColèreColère, fébrilité et trépignements. À mesure que la possibilité d’un accord de toutes les gauches et des écologistes en vue des élections législatives des 12 et 19 juin se concrétise, le « cercle de la raison » politico-médiatique flirte avec la crise de nerfs. La centralité politique du courant mélenchoniste depuis le 10 avril (fort de 22 % des suffrages exprimés), et sa potentielle capacité d’entraînement pour recomposer la gauche ne passent pas auprès des défenseurs zélés du statu quo.