France Brève

A Stalingrad, les migrants veulent rester en France

A son échelle, cela se mesure d'abord en quantité de café distribuée aux migrants. "Quand j'ai commencé à les aider, j'avais besoin d'une poignée de thermos", se remémore Abla. "Aujourd'hui, il m'en faut chaque matin une quarantaine".

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PARIS (Reuters) - A son échelle, cela se mesure d'abord en quantité de café distribuée aux migrants. "Quand j'ai commencé à les aider, j'avais besoin d'une poignée de thermos", se remémore Abla. "Aujourd'hui, il m'en faut chaque matin une quarantaine".

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