L’affaire peut surprendre, ou choquer. Dans un mémoire de neuf pages, déposé à la veille de Noël, le 24 décembre 2012, au tribunal administratif de Paris, les services du ministre (PS) du budget Jérôme Cahuzac estiment, tout bien réfléchi, que la vente controversée des terrains forestiers et de l’hippodrome de Compiègne (Oise), réalisée en 2010 par son prédécesseur (UMP) Éric Woerth, était parfaitement légale.
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