France Reportage

Faux départ pour le procès Wildenstein

Deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) ont été plaidées lundi au tribunal correctionnel de Paris, et remettent en question la tenue du procès de la célèbre et richissime famille de marchands d’art.

Michel Deléan

Une foule compacte d’avocats d’affaires, de prévenus, de badauds et de journalistes se presse dans une salle bondée du palais de justice de Paris, ce lundi 4 janvier en début d'après-midi. Réputé pour sa discrétion, le clan Wildenstein, célèbre et richissime famille de marchands d’art, voit bien malgré lui deux de ses représentants, le patriarche Guy (70 ans) et l’héritier Alec junior (35 ans), traînés en correctionnelle pour fraude fiscale – ainsi que blanchiment aggravé pour le premier des deux (lire notre article ici).

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