« Ce texte n’a pas pour objet de mieux réprimer les auteurs d’actes violents après qu’ils les ont commis. Il établit en revanche un véritable contrôle administratif du droit de manifester. Si l’on est attaché aux libertés, on ne peut pas l’admettre », affirme l'avocat et écrivain François Sureau interrogé par Le Monde. « J’ai eu un serrement de cœur, je l’avoue, en voyant cinquante nains de jardin ricaner en entendant M. de Courson les mettre en garde », ajoute-t-il.
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