C’est la question de la gestation pour autrui (GPA), pourtant délibérément exclue du champ du projet de loi bioéthique par le gouvernement, qui a fini par échauffer les esprits à droite dans la soirée du 3 octobre 2019 à l’Assemblée nationale. Coup de théâtre après deux semaines de débats plutôt paisibles sur ce texte : un amendement du député Jean-Louis Touraine, co-rapporteur du projet de loi, et de treize autres députés LREM permettant de faciliter la reconnaissance de filiation d’enfants nés de GPA à l’étranger a été adopté dans un hémicycle aux rangs clairsemés.
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