Le vote cette semaine de l’article 3 du projet de loi bioéthique, qui permettra aux enfants nés d’une PMA d’accéder à l’identité de leur donneur, laisse un goût amer à certains militants. « Nous sommes totalement absents de ce texte », accuse même Arthur Kermalvezen, président et co-fondateur de l’association Origines qui bataille pour le droit de chacun à connaître ses parents biologiques.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous