Libertés publiques

Liberté d’expression : multiplication des crimes de lèse-Macron

Depuis le début du mouvement contre la réforme des retraites, les policiers multiplient les arrestations de manifestants accusés d’outrage au chef de l’État. Le délit d’offense au président de la République a pourtant été déclaré contraire à la Convention européenne des droits de l’homme en 2013.

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Un septuagénaire puni pour avoir affiché une banderole « Macron, on t’emmerde », une femme placée en garde à vue et convoquée par la justice pour avoir qualifié sur Internet le président de la République d’« ordure », un autre manifestant également placé en garde à vue pour avoir fait un doigt d’honneur au chef de l’État…

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