« Bien sûr, il y a l’économie et le chômage, mais l’essentiel, c’est la bataille culturelle et identitaire. » En une phrase d’un discours tout entier consacré au péril salafiste lundi 4 avril au soir, Manuel Valls a résumé et assumé comme jamais son obsession principielle. Et celle-ci n’a plus à s’encombrer de prolégomènes sur la compétitivité, le réformisme, l’amour de l’entreprise ou de l’ordre républicain, elle peut se résumer en une grande confusion entre salafisme, djihadisme et port du foulard, le tout amalgamé en un seul et même ennemi implicite. L’islam.
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