Les Herbiers: le petit miracle économique français chahuté par la crise du coronavirus
Avec autant d’emplois que d’habitants, la ville vendéenne est classée depuis des années parmi les zones économiques les plus dynamiques de France. Mais depuis quinze jours, du groupe Beneteau au parc du Puy-du-Fou, tout est à l’arrêt.
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«Dès le lendemain de l’annonce du confinement, tout était à l’arrêt aux Herbiers. Il n’y avait plus personne. » Fabien Moreau, PDG type trentenaire en jean baskets, a dû mettre ses 70 salariés au chômage partiel dès le premier jour de confinement, le 16 mars dernier. Pas le choix : le cœur de métier de sa PME, Cosika, est de repenser la décoration d’intérieur chez les particuliers. « Je perds 18 000 euros de chiffre d’affaires chaque jour », s’alarme-t-il. Dans la zone artisanale et commerciale où il est installé, au sud-ouest de la ville vendéenne, on n’aperçoit qu’une poignée de salariés et surtout des parkings déserts.
Désastre économique, humanitaire, droits humains attaqués… Un an après avoir rebasculé dans les mains des talibans, l’Afghanistan n’en finit pas de sombrer. Pour la minorité LGBT+, le retour des fondamentalistes islamistes est dévastateur.
Mediapart a sillonné la vallée de la Valdaine et ses environs dans la Drôme, à la rencontre d’agriculteurs qui souffrent des canicules à répétition. Des pans de récoltes grillées, des chèvres qui produisent moins de lait, des tâches nouvelles qui s’accumulent : paroles de travailleurs lessivés, et inquiets pour les années à venir.
Il y a un an, le critique de théâtre Jean-Pierre Thibaudat confirmait dans un billet de blog de Mediapart avoir été le destinataire de textes disparus de l’écrivain antisémite Louis-Ferdinand Céline. Aujourd’hui, toujours dans le Club de Mediapart, il revient sur cette histoire et le secret qui l’entourait encore. « Le temps est venu de dévoiler les choses pour permettre un apaisement général », estime-t-il, révélant que les documents lui avaient été remis par la famille du résistant Yvon Morandat, qui les avait conservés.
En renvoyant systématiquement la Nupes à « l’extrême gauche », la Macronie continue de banaliser l’extrême droite qui, présente en force à l’Assemblée nationale, se félicite d’avoir autant de ventriloques.
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