Justice

Jeux olympiques : deux journalistes passent dix heures en garde à vue pour avoir fait leur travail

Deux journalistes, qui s’apprêtaient à suivre une quarantaine d’activistes écologistes en Seine-Saint-Denis, ont subi, avec eux, une garde à vue ayant abouti à un classement sans suite. « Abusif et illégitime », s’indigne Reporters sans frontières.

Névil Gagnepain

Le dimanche 28 juillet, le collectif Saccage 2024 organisait un « toxic tour », une sorte de déambulation destinée à « montrer différents lieux des Jeux olympiques afin d’en documenter les impacts néfastes », à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis. 

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter