Pitié-Salpêtrière: des policiers frappent un étudiant dans sa résidence universitaire
Le 1er Mai, à la Pitié-Salpêtrière, Amadou, un étudiant de 23 ans, a été frappé sans explication par quatre policiers au sein même de sa résidence universitaire. Une « intrusion violente », et bien réelle celle-là, qui a été passée sous silence.
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Amadou* a désormais retenu la leçon : il ne faut jamais parler trop vite un 1er Mai à Paris. Cet étudiant de 23 ans ne manifeste jamais, mais avait juré à ses proches qu'il ne risquait rien comme résident, sur le passage du cortège. Quand sa mère l'a appelé dans l'après-midi pour s'inquiéter des images de violences qui tournaient en boucle sur les chaînes d'infos, Amadou s'est voulu rassurant : « Ne t’en fais pas, je vis dans un hôpital. » Réponse pleine de bon sens quand on est logé en résidence universitaire dans l'enceinte de la Pitié-Salpêtrière.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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