Le premier jour, « ils » se sont plutôt bien tenus. À l’exception de Marine Le Pen, les politiques ont maîtrisé leur langage et parlé « d’unité nationale ». Ainsi le président de la République : « C’est la République tout entière qui a été agressée. » Ainsi l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy : « J’appelle les Français à refuser la tentation de l’amalgame. » Ainsi Claude Bartolone et les présidents de groupe de droite et de gauche qui ont signé un appel à « l’union nationale ». Idem au Sénat autour de Gérard Larcher. Ainsi Alain Juppé, qui a lancé un message de même nature sur son blog : « C’est la nation tout entière qui doit s’unir et se mobiliser. »
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