Il y a eu la soirée des César. Il y a la soirée du 7 mars. Il y a eu la violence de l’académie des César célébrant Roman Polanski. Il y a les violences policières contre des manifestantes pour les droits des femmes place de la République, à Paris. Il y a le geste d’Adèle Haenel, le discours d’Aïssa Maïga, de Swann Arlaud. Il y a la rage et les larmes de colère d’une nouvelle génération féministe qui aspire à ouvrir tous les horizons des possibles. Il y a deux mondes qui se font face.
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