Pacte de responsabilité et 50 milliards de coupes dans les dépenses publiques: Manuel Valls accélère la politique néolibérale de son prédécesseur. Il s'expose à de nouvelles polémiques : sur la « trappe à bas salaires » que pourraient provoquer les allègements de cotisations sociales, ainsi que sur le tour de passe-passe sur le pouvoir d'achat.
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En annonçant qu’il avait choisi de nommer Manuel Valls à Matignon, en remplacement de Jean-Marc Ayrault, François Hollande avait clairement fait comprendre qu’il entendait ne tirer aucune leçon, ou presque, de la sanction sans précédent des élections municipales, et maintenir le cap de sa politique économique. Le discours de politique générale de Manuel Valls, ce mardi 8 avril, devant les députés, en apporte la confirmation. Bien que la majorité ait en partie implosé, que les Verts aient décidé de ne plus faire partie du nouveau gouvernement ou encore que le groupe des parlementaires socialistes soit entré en rébellion, l’orientation économique et sociale est quasi inchangée : plus que jamais, cap sur le néolibéralisme et sur l’austérité renforcée…
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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