Violences sexuelles : les syndicats aussi

La CGT de la Ville de Paris implose après une affaire de violences sexistes

Près de 500 militants ont été privés de leurs droits syndicaux par la puissante fédération CGT des services publics, en pleine mobilisation contre la réforme des retraites. Ils dénoncent une « chasse aux sorcières ».

Mathilde Goanec

La nouvelle a sonné comme un coup de tonnerre dans le paysage syndical parisien. 498 militants CGT, agents de la Ville de Paris, se sont vu priver de leurs « libertés syndicales », ces heures de délégation prises sur le temps de travail qui permettent d’informer, d’assister leurs collègues ou de faire vivre les sections.

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